Avant tout, ce stage était une occasion d’affirmer et de renforcer mon idée sur ce projet de reconversion dans lequel je me suis positionné.
Je reste conquis par la pluridisciplinarité de l’hydraulique, il faut aussi bien manier et jongler sur les parties administratives d’un projet, la gestion comptable de son entreprise de production, le maintien en condition opérationnelle de sa centrale, conserver d’excellentes relations avec les autorités en charges de faire respecter votre droit d’exploitation et environnemental, tout cela en ayant d’excellentes notion d’électrotechniques, d’automatismes et une forte connaissance de son cours d’eau.
Plus d’un aurait tourné les talons en exposant ces contraintes, mais force est de constater qu’il s’agit d’un métier de passionné.
Notre « communauté de l’eau », exploitant, producteur, maintenancier, développeur, bureau d’étude, porteur de projet réunit sur cette période de stage le confirme.
Pas de Gandalf ou de roi Aragorn pour nous guider, mais un savant mélange d’hommes et de femmes passionnés, en soif d’apprendre et de partager leurs vécus.
Principal vecteur de cette formation, EREMA qui propose au travers de ces 5 jours leurs propres retours d’expériences, leurs améliorations, leurs difficultés et leurs solutions.
Bref un échange valorisant entre formateurs et stagiaires, des intervenants extérieurs, des visites de sites, entrecoupées de repas tout aussi fournis et variés que les cours.
Je confirme mon intérêt porté sur ce métier et son domaine d’application, et je n’en doute pas l’ensemble du groupe a apprécié l’engouement proposé par EREMA au cours de cette semaine.
En souhaitant nous recroiser à nouveau dans ces prochaines années (du moins avant le recyclage 😊)
Eric Mathivet - Maintenance, exploitation MTTENR, Projet ENR BDENR, Fourniture d’électricité particulier et pro LLUM
Guide de l’Explorateur en micro-électricité
Comme avant toute grande expédition, une bonne préparation mentale et physique est essentielle pour arriver au bout de l’aventure.
Avant de rentrer dans les détails, revenons sur la définition d’un explorateur : explorer est le fait de chercher avec l’intention de découvrir, d’étudier plus en profondeur quelque chose, un lieu ou un domaine pour agrandir son périmètre habituel.
En effet, ce qui pousse chaque participant à réaliser la Formation EREMA est souvent différent selon les profils, mais se rejoint de toute évidence sur un point : la curiosité.
Faisons un tour d’horizon sur cette semaine riche en rencontres et en savoirs.
Dans votre sac, prenez une casquette, une gourde, de bonnes chaussures de marche, un GPS ou boussole pour les plus anciens, un carnet de route pour noter toutes vos impressions et interrogations, un appareil photo pour immortaliser les trésors enfouis dans les montagnes Iséroises.
Pour le ravitaillement, pas d’inquiétude, tout est fourni ! Un jeûne est d’ailleurs conseillé avant et après, avis aux petits joueurs !
Les journées sont rythmées entre cours théoriques, visites de microcentrales hydroélectriques hautes et basses chutes fondues dans le décor montagneux de Savoie, comme à Argentine 1 et 2 et toujours dans le respect de la nature.
Toutes les disciplines y sont abordées, Histoire de l’Hydroélectricité, les turbines et leur fonctionnement, d’ailleurs à la fin de la semaine, Pelton, Francis et Kaplan resonnent comme des membres essentiels de notre vie….
Le marathon d’électrotechnique pourra, pour les plus novices, nécessiter l’accompagnement d’un thermos d’un grand Arabica.
Les intervenants de la formation sauront répondre à vos questions et vous conseiller sur vos projets. Il faudra alors vous doter d’une agilité législative, d’un goût du risque, d’une bonne gestion du stress en cas de panne mais surtout de beaucoup de passion pour ce domaine.
Et comme tout aventurier « Rêver » est le moteur des projets, et comme disait l’architecte Frank Lloyd Wright, « Mon projet préféré ? c’est le prochain. »
Merci à tous les formateurs d’EREMA et à tous les participants pour cette semaine d’exploration technique et humaine empreinte d’une forte dose de convivialité.
Marie-Charlotte BARTHE et Florie BARTHE - SARL MA FLOTTE-B
Chers collègues de formation et formateurs,
Par ces quelques lignes, je tenais à vous remercier pour cette semaine de formation intensive, en petit comité, « Exploitation de microcentrales hydroélectriques », organisée par l’équipe d’EREMA à Herbeys, en plein cœur du berceau de la Houille Blanche en Isère (38), du 17 au 21 septembre 2018. En effet, j’ai pu, par nos rencontres, nos profils et univers professionnels très variés, passer des moments enrichissants : de la France métropolitaine à la Belgique, en passant par l’île de la Réunion, de la gestion de l’acheminement en eau potable à la régie électrique, du maitre d’ouvrage ou aspirant producteur, aux partenaires de producteurs (bureau d’études, association de conseil aux producteurs…).
Nous avons partagé des valeurs communes : la curiosité, la soif d’apprendre, la bienveillance, le plaisir d’un bon repas du terroir, souvent à la ferme biologique qui nous accueillait, et l’esprit d’émerveillement face aux magnifiques paysages et aux grandes dames (turbines historiques).
Les cours étaient très complets, accessibles au plus grand nombre, dispensés par des formateurs passionnés et d’une grande expertise, permettant de balayer un panorama complet de la profession de façon objective : réglementation environnementale, électricité, électromécanique, assurances, réseaux, contrats d’achat, maintenance et sécurité. Les supports étaient variés : cours en salle, visites de sites de production et de musée, le tout avec une place manifeste pour les échanges et les questions, menant à un climat interactif et convivial.
Je retiens, au-delà bien sûr des connaissances techniques compilées dans un classeur, l’ambiance quasi familiale qui s’est instaurée et les discussions fluides entre nous et avec les formateurs, à l’heure des repas (et de l’apéro notamment !).
Ces 5 jours m’ont redonné foi et passion en notre indispensable métier d’accompagnement de projets en énergie renouvelable. Je suis rentrée galvanisée, par cette belle énergie de groupe, qui m’a donné envie de continuer notre action en faveur du développement des énergies renouvelables aujourd’hui, pour un monde meilleur demain.
Au plaisir de vous revoir,
Manon LAMBOLEY - Plateforme d’ingénierie environnementale ATESyn, responsable de l’agence alpine
La formation avec EREMA c’est aborder le panel complet des problématiques de l’exploitant en hydroélectricité.
Grâce à un support de formation riche et complet, des intervenants impliqués, passionnés et disponibles, EREMA vous transmet sa philosophie de travail et de conception des installations hydro. Vous avez accès à une approche rare du fait qu’EREMA conçoit des sites de production avec l’expérience de l’exploitant, expertise qui a vocation à vous offrir quelques dizaines d’années de rentabilité… supplémentaires. C’est donc une formation qui va bien au-delà des aspects techniques et règlementaires de l’hydroélectricité, puisqu’il y a la transmission d’une « intelligence d’exploitation ».
Vous aurez l’honneur de recevoir les conseils du vétéran ingénieur turbinier Jacques Etienne, animé d’une verve inspiratrice. Avec autant d’enthousiasme, Dominique Boisson (Études EREMA) et Philippe Demachy (Réalisations élec. et auto. EREMA) vous font pénétrer les mystères techniques avec pédagogie et exemples concrets. Je vous garantis la richesse des échanges avec ces deux personnalités. Sans oublier l’excellent Sébastien Jullien-Palletier (Maintenance EREMA) à l’énergie débordante lors des visites de sites, ou des explications sur les stratégies de maintenance.
À ces points techniques, s’ajoutent les aspects règlementaires et législatifs de l’activité, démystifiés par la pétillante Aurélie Rollier-Sigallet (Admin. EREMA) qui a le talent de détricoter un univers rebutant. Enfin, et non des moindres, c’est Julien James (MMA Entreprises) qui partage son expérience d’assureur avec pas moins de 75 sites de production sous sa couverture. Autant dire qu’il sait spécifiquement les points clés à assurer pour une microcentrale hydroélectrique.
Tout cela n’est que le terreau d’un stage de formation réussi, car il tient aussi beaucoup au partage d’expériences des participants eux-mêmes. La première journée est plutôt formelle, mais rapidement vous vous retrouver à échanger avec de petits exploitants, gardien de centrale, ou gestionnaires gérants des millions d’Euros. Autant dire que les retours pour un porteur de projet comme moi sont d’une valeur sans égal. C’est alors que vous passez une semaine conviviale, dans un cadre serein, où parler « boulot » à table est profondément stimulant, que ce soit entre stagiaires (13 pers.) ou avec les membres d’EREMA, qui viennent parfois rallonger la tablée jusqu’à plus de trente convives !
Les visites de sites sont au menu de cette semaine « chargée » :
Mises en bouche : Visite du Musée Hyrélec de Grand-Maison, animée par Jacques Etienne lui-même.
Plats : La centrale de la Lignarre (2 Francis), entièrement conçue selon les méthodes EREMA et La Pia (4 Peltons), exemple de rénovation sur la partie électrique/automatisme. Mais aussi la centrale d’Argentine avec des alternateurs Alsthom 500kW, très proches de ceux vus au musée !
Entremets : La centrale de Sainte Hélène, une conception unique à 2 sources et 2 Peltons sur le même arbre… À découvrir par vous-même !
Enfin le dessert : Avec un investissement massif et rendement à couper le souffle, la centrale d’Argentine (car il y en a 2) qui dispose d’une modeste génératrice verticale de 4.5 MW, entièrement conçue et exploitée par EREMA.
Voilà une semaine passée où Francis, Pelton et paliers sont devenus vos amis, où vous savez placer dans une conversation : excitatrice et couplage sans être vulgaire, et enfin maîtriser les harmoniques, cos phi et kVAr.
Finalement une expérience plus qu’enrichissante, qui n’aurait pas lieu sans la maîtrise de ce chef d’orchestre qu’est le PDG d’EREMA : Nicolas Da Silva.
Jamais vous ne regretterez ce petit investissement dans les énergies renouvelables.
Stéphen GUEBLE CREUZET - Porteur de projet
L’hydroélectricité a débuté en France dans le massif de Belledonne avec la 1ère centrale construite par Aristide Bergès en 1869. Erema situé à quelques dizaines de kilomètres perpétue cette lignée d’hydrauliciens qui exploite la force des cours d’eau. Le savoir-faire et les techniques ont évolués, la filière s’est modernisée pour devenir une énergie propre et compétitive. Erema durant son stage de formation s’inspire de l’histoire de la région pour ensuite y intégrer les innovations qui permettent de concevoir et exploiter efficacement des centrales hydrauliques.
Durant 5 jours ce sont des participants d’horizons différents qui se côtoient. Du particulier en recherche de nouveaux défis aux professionnels de l’énergie tous assistent aux cours théoriques. Ce que nous avons apprécié c’est que cette formation est adaptée pour convenir au plus grand nombre. Tout le monde y trouve son compte, du non-sachant à l’ingénieur chacun obtient le niveau d’information qu’il souhaite. De plus, le mémoire en version papier très bien réalisé permet à chacun d’approfondir les sujets qu’il souhaite et de conserver une trace écrite fiable des enseignements.
L’intérêt de cette formation réside aussi dans sa situation géographique. En effet suite aux cours des visites sont programmées dans des centrales aux alentours. Ces visites variées entre STEP de plusieurs centaines de mégawatts, hautes chutes et basses chutes permettent de découvrir un éventail étoffé des types de centrales hydroélectriques. Elles complètent parfaitement les enseignements théoriques délivrés et nous font découvrir des sites exceptionnels. Les intervenants et exploitants des centrales sont là pour répondre à toutes les questions et ne manque pas de raconter leurs anecdotes. De même, le stage d’une semaine est l’occasion de partager avec les autres participants sa passion et son savoir, chacun apportant ses propres connaissances dans la bonne humeur collective.
On nous avait présenté cette formation comme le MBA de la micro-hydraulique, nous avons été extrêmement satisfaits de cette semaine de stage. La qualité des enseignements était au rendez-vous. Erema a en plus accordé une attention toute particulière aux aspects logistiques, les repas sont issus de la ferme biologique où se tient la formation.
Nous remercions l’ensemble de l’équipe d’Erema et les participants du stage 2015 pour cette semaine qui fut enrichissante d’un point de vue technique et humain.
Nicolas TOULZAC - ARTESOL
EREMA, la recette :
Une bonne dose de physique, une poignée d’électrotechnique, deux cuillérées de rappel sur le fonctionnement des turbines, un brin d’histoire, une mesure de sécurité, 3 pincées de maintenance et un pavé de réglementation. Epluchez quelques notions de réseaux électriques, ajoutez à tout ça un peu d’automatisation, quelques visites de centrales et saupoudrez le tout de bonne humeur. Passez le tout à la Pelton pendant 5 jours.
Voici la recette d’EREMA pour combler les participants à son stage !
Exploitants, développeurs, gestionnaires de réseau, responsables qualité ou novices, tous trouvent leur place sur les bancs de la formation. Animée par des professionnels passionnés, le fer de lance est avant tout le partage des connaissances et des retours d’expériences. Au final une véritable synergie se crée au sein de cette petite communauté où tout le monde est invité à prendre la parole lors des enseignements mais aussi lors des visites de centrales qui viennent ponctuer la semaine.
Dans un cadre remarquable en plein cœur de l’Isère, c’est à Herbeys que se déroule la formation. Auberges de charme pour vous accueillir et produits du terroir pour vous rassasier, tout est fait pour rendre ce moment un peu particulier.
Un grand merci à toute l’équipe pédagogique et à la Direction pour nous avoir transmis leur énergie qui participe, sans nul doute, à promouvoir l’hydroélectricité et le sens du réseau entre ses acteurs !
Laure ROHLES - GREEN CITY ENERGY France
Depuis maintenant plus de deux ans que je suis entré au service de la profession, je n’ai cessé d’entendre parler du stage proposé par EREMA. Après une année 2012 mouvementée pour notre filière, J’ai enfin pu libérer une semaine pour suivre cette formation.
Lundi matin 8h00 tapante, tout le monde était sur le pont ! Venus des quatre coins de France et de Navarre, l’ensemble des stagiaires étaient au rendez-vous. Après un premier tour de piste, nous découvrons un à un la diversité des profils de chacun. A priori très éloignés des uns des autres : producteurs, futurs exploitants, bureau d’étude, opérateur de marché (signe des temps..), fondation de l’eau, représentant syndical… tous partageaient la même passion pour l’hydro.
Au programme des festivités, des cours denses et pointus qui semblaient inaccessibles à la plupart des néophytes… Mais c’était sans compter sur la compétence des formateurs, qui avec une réelle habilité pédagogique arrivaient, avec des mots et des exemples simples, à nous expliquer les plus complexes des sujets ! Les phénomènes de « coups de bélier » ou encore de cavitation n’ont désormais plus de secret pour nous !! Et encore moins la fameuse tangente phi…
Les visites sur sites furent un réel exercice de mise en pratique des cours théoriques. Une vraie pause pour nos neurones mais aussi le plaisir non dissimulé de prendre un bon bain de soleil sous la chaleur torride (36°) du Dauphiné !
Par ailleurs je ne peux laisser sous silence la convivialité des rapports humains avec les formateurs mais également entre nous, qui au-delà des échanges d’expérience des uns et des autres, donnent à ce stage toutes ces lettres de noblesse.
En conclusion, je pense pouvoir dire que la formation EREMA n’as pas pris une ride, bien au contraire, une nécessité pour notre filière qui, plus que jamais, est en mouvement et doit rester à la pointe des nouvelles technologies.
David THOUVENOT - Secrétaire Général d’EAF
Les diverses parties prenantes de l'hydroélectricité étaient bien représentées dans l'assistance : propriétaires ou salariés d'exploitants (de la centrale lilliputienne comme la mienne à l'unité de 8 MW), membres d'administration et d'institutions (Agence de l'eau, Parc naturel), partenaires des producteurs (courtiers, bureaux d'études, acheteurs d'énergie), et enfin aspirants à la production hydraulique en quête d'un site.
Ce stage a le mérite d'offrir un panorama complet des domaines dans lesquels l'exploitation d'une petite centrale requiert des compétences. Malgré la diversité des niveaux de connaissances, tous les intervenants ont su partager leur savoir à la hauteur des besoins de chacun.
A noter également un état d'esprit extrêmement agréable de la part des intervenants extérieurs qui ont su parler de leur sujet sans en faire une tribune publicitaire pour leur marque (ceci est valable également pour les orateurs d’Erema).
Chaque session est donc animée par un véritable passionné, heureux de partager sur son sujet de prédilection :
M. Dominique Boisson a ouvert les débats avec des notions générales sur l'hydroélectricité, qui replacent judicieusement le métier dans un contexte, et introduit les sessions suivantes. C'est également lui qui a eu la lourde tâche de rendre attractive la réglementation et la législation sur l'usage de l'eau : mouvantes, changeantes, soumises à interprétations, les lois qui concernent l'activité sont nombreuses et l'expérience de l'orateur est un vrai phare dans la brume ! Qu'il soit également remercié pour la passionnante visite guidée de la centrale de la Lignarre dont il a porté le projet et qui produit ses premiers kW depuis quelques mois : outre les explications sur ce long parcours de création, les détails sur les solutions techniques retenues, nous avons eu le plaisir de voir une magnifique installation, dont les Francis sentent bon la peinture fraiche : que c'est beau une centrale neuve !
M. Alain Moissonnier remplaçant au pied levé l'intervenant initialement prévu, a guidé l'auditoire dans le maquis des réglementations concernant les raccordements et les contrats d'achat : dans un environnement en mutation avec l'échéance le la plupart des contrats H97, la montée en puissance des acheteurs hors obligation d'achat, cette session constitue une mise au point primordiale.
M. Jacques Etienne, dont les quelques décennies à installer, ausculter, réparer, observer des turbines de tous types, sous toutes les latitudes n'ont visiblement pas émoussé la passion communicative pour les moteurs hydrauliques, dont il a expliqué les aspects techniques, les "traits de caractères", illustrés d'une magnifique iconographie. Les éléments fondamentaux des calculs hydrauliques dont la connaissance est indispensable ont été également simplement et clairement exposés.
M. Jean-Philippe Reiller s’est chargé de la partie électrique, qui est bien souvent et paradoxalement un domaine dans lequel des exploitants montrent quelques limites. Pour résumer sa capacité pédagogique, il suffit de dire que j'ai compris ce qu'était la puissance réactive : si pour vous c'est une notion plus proche de l'ésotérisme que de la physique, venez au stage Erema, avec l'aide d'un canal et d'un cheval, et la bienveillance de M. Reiller, le mystère sera moins épais.
M.Philippe Demachy est un homme convaincant : l'entendre parler d'automatisme implique la remise en cause de pas mal d'idées reçues, et pour les béotiens comme moi, et pour ceux qui exploitent des centrales qui ont déjà avalé quelques milliards de mètres cubes, s'ouvrent grâce à quelques petits boitiers judicieusement choisis de larges marges d'optimisation de la production.
L'automatisation n'est rien sans informations, transmises en particulier par des capteurs : grâce à M. Jean-Marc Rollet, nous avons eu un panorama des divers types de sondes existantes, leurs avantages et inconvénients. Ces informations permettent de choisir le matériel en adéquation avec les besoins.
Autre élément central du pilotage d’une centrale : l’hydraulique. Oui, mais l’autre, celle qui fonctionne… à l’huile. M. Cvetko Zagar, spécialiste du sujet, a expliqué le fonctionnement d’un système hydraulique, de la pompe aux vérins. En prime, des explications précises sur les constituants du circuit (flexibles, clapets, régulations, vannes, etc…) et de précieuses informations sur la maintenance des groupes .
Enfin, pour une fois l'intervention d'un assureur n'était pas synonymes de problème et d'ennuis : M. Stéphane Duret , passionné à titre personnel et professionnel d'hydroélectricité, nous a expliqué comment choisir nos contrats et détaillé très clairement les diverses clauses : s'il y a un domaine dans lequel un interprète est bienvenu, c'est bien celui des assurances. Qu'il soit remercié pour son franc-parler et la clarté de son exposé.
Je ne peux que conseiller sans réserve à toute personne concernée par les petites centrales hydroélectriques d'assister à ce stage, chacun y trouvera largement de quoi justifier le temps passé et l'investissement.
C'est aussi une occasion d'échanger avec les stagiaires, partager ses expériences, nouer des relations. Les intervenants se sont montrés également très disponibles en dehors des sessions, pendant les visites de centrales, durant les pauses, et même assaillis de questions, c'est avec le sourire et dans la bonne humeur que les réponses ont été apportées.
Sur ce bilan général très positif, je vais maintenant placer quelques petits bémols, juste histoire de dire que la perfection n'est pas loin :
Certains éléments du programme n'ont pas été réalisés : point de travail sur plan, point d'exercice pratique... dommage, sur le papier ça ne manquait pas de sel !
Une session traitant de façon générale de la sécurité des microcentrales et la réglementation associée (protection incendie, protection des intervenants et du public, etc...) serait bienvenue pour être vraiment complet.
Enfin, prônant pour ma petite chapelle, et sans en faire une priorité, il serait bon que les particularités des touts petits sites (<100kW) ne soit pas trop systématiquement mis de coté : il existe des centaines de petites chutes qui ne demandent qu'à travailler et beaucoup de passionnés désireux de les faire revivre !
Merci très sincèrement à la société Erema de mettre à disposition des gens intéressés ses compétences et celle de ses partenaires : elle participe ainsi à la diffusion d'une information objective, complète et pratique et agit ainsi pour la promotion et la défense de notre belle énergie.
François Romiée - Centrale de Montfalconnet (30kW hydraulique et 21 kW solaire : small is beautiful !)
A quelques encablures du berceau de la Houille Blanche, sous la houlette de Jean Philippe REILLER, spécialiste de la micro hydraulique depuis plus de 20 ans, l’équipe Erema dispense en petit comité une formation intensive portant sur l’exploitation des centrales hydroélectriques.
Admirative des vielles meules de la Dordogne depuis l’enfance, j’ai finalement rejoint le domaine de l’hydraulique, en exerçant des fonctions de courtière en centrales hydroélectriques. Familière des opérations de cession et d’acquisition, je gardais néanmoins, à l’esprit d’améliorer mes connaissances techniques des ouvrages hydrauliques, pour cela, je recherchais un apprentissage rapide et de qualité.
Au regard de mes attentes, j’ai aussitôt été séduite par la proposition d’EREMA, à savoir une formation de 5 jours couvrant les grandes thématiques de la micro hydraulique : la législation, les contrats EDF et les CARD, les turbines, les installations électriques et enfin la maintenance d’une centrale.
Une formation selon moi, accessible à tous, dans la mesure où la passion de la matière est de mise. En effet, ici on ne chôme pas, le grand turbiner Jacques Etienne ne lésine pas sur la technicité des turbines, les autres intervenants étant aussi généreux sur l’information fournie dans leur domaines respectifs.
Bien que l’enseignement soit pointu, les séances sont interactives et conviviales. Les profils étant divers et variés, il en résulte un ensemble riche en expérience et savoir-faire, que nous partageons tous avec plaisir.
Enfin, il ne faut pas oublier l’enthousiasme des rencontres, l’hospitalité d’EREMA et la jovialité des repas…On y resterait volontiers une semaine supplémentaire.
Sonia ricci
En ce lundi matin, nous étions 14 stagiaires à partir à l’assaut de l’exploitation des microcentrales. Notre groupe était très hétérogène tant par nos professions que par nos origines géographiques mais très homogène pour ce qui est de la répartition hommes – femmes ! L’hydroélectricité est un monde d’hommes m’avait-on dit, j’ai pu le vérifier. Nous étions deux femmes dans le groupe dont une nouvelle recrue de l’équipe d’Erema et j’étais la seule représentante des services de l’état. J’étais donc la « volontaire » idéale pour écrire un petit article sur le stage.
N’allez pas vous méprendre au vu de ce que je viens d’écrire, je suis revenue enchantée de ce stage. L’ambiance était excellente et la diversité des profils de chacun a permis des échanges très enrichissants.
Le stage en lui-même est bien rodé, il permet d’aborder en 5 jours, de très nombreux aspects de l’exploitation d’une microcentrale (électricité, hydraulique, automatisme, maintenance, réglementation, etc.). L’emploi du temps réparti entre exposés théoriques, démonstrations pratiques et visites de centrales est très chargé mais heureusement l’équipe n’a pas oublié les pauses et le Dauphiné n’a pas volé sa réputation en terme de gastronomie.
Au niveau théorique, quel que soit le niveau des participants, les formateurs ont tous su se mettre à notre niveau et rendre intéressant voire passionnant ce qu’ils avaient à nous transmettre. Tous les intervenants du stage sont des passionnés de leur métier et cela se ressent quand on les écoute. L’exemple le plus emblématique est probablement celui de Jacques Etienne que l’on écouterait parler des turbines pendant des heures. Mais les autres ne sont pas en reste et m’ont permis d’apprendre beaucoup de choses au cours de ce stage.
Les visites étaient un bon moyen d’illustrer ce que nous avons pu apprendre au cours de la semaine. Elles ont permis d’avoir un panorama de la grande à la petite hydroélectricité, des usines les plus modernes avec gestion à distance par téléphone portable aux usines disons plus « rustiques ».
Enfin les pauses et les repas ont été des moments d’échanges agréables. La gastronomie était à la hauteur de la qualité du stage et n’avait pas non plus été laissée au hasard. L’ambiance générale était tellement bonne que nous avons tous participé à des visites facultatives et joué les prolongations jusqu’à des heures avancées mais chut !
Bref j’ai passé une semaine très enrichissante au niveau professionnel et personnel et j’en remercie toute l’équipe d’Erema et tous les stagiaires.
Bonne continuation et au plaisir de vous revoir un jour au fil de l'eau.
Diane Réautez - Agence de l’eau Adour Garonne
Retour sur les bancs de l’école pour une douzaine de personnes. Les origines sont diverses, les buts de chacun différents mais une passion les unit tous : le monde des microcentrales hydroélectriques. On retrouve une fratrie Suisse qui souhaiterait financer des projets de PCH et assouvir sa curiosité sur le sujet, un professeur Belge venu compléter ses connaissances, une personne cherchant une voie de reconversion, trois exploitants de microcentrales : de riches héritages dont ils veulent prendre grand soin, trois personnes travaillant pour les Moulins Gheerbrandt, dans le Nord, entreprise qui dispose de plusieurs centrales, et 4 personnes de la Compagnie Nationale du Rhône investis dans le développement des minicentrales.
On attend tous beaucoup de cette formation et les intervenants ont beaucoup à offrir. Le métier d’exploitant est connu sur le bout des doigts par les formateurs EREMA. Ils savent répondre aux questions les plus pointilleuses sur le fonctionnement des microcentrales. L’ingénieur turbinier, M. Jacques ETIENNE nous fait partager son savoir et sa grande expérience dans le domaine. Très pédagogue, il nous explique le fonctionnement de chaque type de turbine, en alliant la théorie à son savoir-faire.
Le stage nous permet ainsi de mieux comprendre chacun des éléments technologiques nécessaires ainsi que les problèmes que peuvent rencontrer les exploitants de microcentrales, depuis la rivière jusqu’au réseau électrique. Les bases de la législation, de l’électricité, des systèmes hydrauliques, des automatismes, et des assurances nous sont transmises. L’accent est mis sur l’importance de chacun de ces domaines pour la réalisation et l’exploitation de centrales.
Pour mieux maîtriser notre sujet, plusieurs visites sont organisées. On découvre avec plaisir les différentes solutions techniques existantes. On comprend mieux et on apprend des nombreuses anecdotes de nos hôtes. La curiosité des plus exigeants est assouvie par ces visites de microcentrales en fonctionnement !
Au-delà de toutes ces données techniques, cette théorie et ces visites, on apprécie le cadre agréable de la formation, l’ambiance qui règne au sein de l’équipe et les bons repas !
Une bonne occasion de développer un réseau entre les producteurs autonomes, les fournisseurs d’outils d’aide à l’exploitation et l’ensemble des passionnés de l’hydroélectricité où chacun aura pu trouver de bons conseils.
Un grand merci à l’équipe de formateurs et des intervenants : pour l’accueil, pour leur disponibilité, et pour nous avoir fait partager leurs connaissances et leur passion.
En espérant croiser l’un d’entre vous autour de ce domaine,
A bientôt.
Audrey, Christine, Roland et Gérald pour la Compagnie Nationale du Rhône
Ma semaine de stage « exploitation de microcentrales hydroélectrique » à EREMA
Un stage d’exploitation de microcentrales, je découvre cette proposition avec intérêt et curiosité et je m’inscris. Depuis peu, je suis associée dans une microcentrale très proche d’un village des pyrénées cher à mon cœur. Je souhaite m’investir, comprendre, apprendre, découvrir ce qui se cache derrière cette belle création. Comme d’autres l’ont pensé avant moi, quelle chance ce stage !
La présentation des stagiaires est hétéroclite. Deux heureux propriétaires de moulins qui souhaitent le rénover. Un technicien « prêt à aider » parce que passionné, un gardien de centrale, un exploitant pour le compte de la régie de Grenoble, trois exploitants de microcentrales, un futur exploitant prêt à sauter le pas, deux assureurs. Certains ont demandé une formation à leur employeur. Pour d’autres et notamment deux passionnés et deux curieux, ils se sont payés le stage sur leurs deniers et ont pris une semaine de congé pour y participer. C’est dire qu’un point commun se dégage immédiatement : la passion et la curiosité sur ce métier si confidentiel.
Ce point commun, la passion se retrouve tout au long du stage chez la plupart des intervenants, et notamment chez Monsieur Jacques ETIENNE, Ingénieur Turbinier qui nous fait partager son vécu avec les turbines. Il en ressort, qu’il en existe principalement 3 types et pourtant chacune est différente. Notre intervenant se souvient de chaque turbine qu’il a eu l’occasion de fréquenter en France et à l’étranger. Il suffit juste d’énoncer le cours d’eau ou le nom de la centrale. Une vie à l’écoute des turbines. Il nous initie au mystère de leur création à travers des formules mathématiques que nous enregistrons avec soin. Tout le monde est attentif.
La suite du stage aborde toutes les facettes de ce métier. De la législation à la conception et l’exploitation en abordant les différents matériels nécessaires pour faire fonctionner ce type d’exploitation et en n’oubliant pas l’Electricité, les assurances et les automatismes. Le stage est complet et tous les stagiaires découvrent ou approfondissent l’une ou l’autre, ou toutes les matières proposées.
Tout ceci serait bien théorique sans la visite des centrales. En début, milieu et fin de stage, nous sommes invités à découvrir des microcentrales hydroélectriques en fonctionnement. Bien entendu, ce sont des moments de bonheur pour tous les curieux et curieuses du stage. Ces très bons souvenirs sont complétés par de très bons repas très conviviaux en présence de l’équipe EREMA et de son gérant.
Tout le monde est ravi d’être venus. On s’échange des adresses, on se transmettra des photos (bien sûr de microcentrales), on s’aidera si nécessaire.
Merci de l’accueil, merci à l’équipe, bien sûr, vous devez continuer, il le faut car c’était passionnant et enrichissant pour tous.
Souvenir amical pour Eric, Jean-Pierre, Loïc, Vincent, Philippe, Jean-François, John, Pierre, Olivier, Marie-Pierre et Laurent.
La rédactrice en chef « dixit Mr REILLER - EREMA » de la cuvée juin 2008
Patricia DE COL
J'ai trouvé le stage d'EREMA très formateur. Il s'adresse cependant a des personnes ayant un minimum de connaissances techniques en électricité sinon citoyen, citoyenne, le "cos fi», ou encore le "vecteur de FRESNEL", pourraient hanter vos nuits ou pire, vous empêcher après vos cours d'aller visiter la région superbe ou taper quelques balles au magnifique golf de URIAGE LES BAINS.
Vous ne risquez pas vous endormir, la voix de jean marie DYON maître de stage est un remède a tout début de sieste. Les montagnards sont là et ne vous lâcherons qu'après des journées réglées au chronomètre (la SUISSE n'est pas loin) et un ordre du jour scrupuleusement respecte.
Le sujet et généreusement dissèque et harmonieux. De la phase administrative pour le montage du dossier d'obtention d'autorisations aux visites sur site pour rompre avec le "bureau" tout y passe et croyez-moi rien n'est laissé au hasard.
Ce n'était pourtant pas gagné d'avance vu la diversité des stagiaires mais comme le dit le poète "maîtrise et passion engendrent savoir et désir".
Merci à tous les intervenants ce stage était d'une qualité remarquable, sans oublier l'intendante des lieux qui était aux petits soin.
Jean-Michel ALRIVIE - Assurance ALBINGIA
Si vous suivez l’exemple des participants au Stage EREMA cuvée 2005, vous serez associés à des passionnés issus de tous les horizons. Vous échangerez avec des nouveaux propriétaires, des techniciens, des héritiers devant assurer la continuité de la centrale familiale, des militants écologistes en recherche d’information, des retraités qui cherchent à redonner vie au moulin qui a bercé leur enfance, un rugbyman en reconversion professionnelle, un assureur spécialisé ayant souhaité renforcer ses connaissances pour optimiser ses offres de protection. Et pour cette session deux stagiaires étrangers, le premier du Luxembourg et le second de l’école polytechnique de Yaoundé(Cameroun).
Tout ce beau monde avide de savoir, a démontré que le dialogue et l’expérience partagée étaient le meilleur facteur d’un apprentissage efficace.
Soyez confiant ! Quel que soit votre niveau de connaissance, vous trouverez l’interlocuteur capable de vulgariser tous les aspects de l’hydroélectricité, et vous serez touchés par la passion contagieuse d’intervenants tel que Jacques Etienne pour la partie calcul et turbine, vous apprendrez à naviguer dans les méandres de l’administration avec un directeur de DDA en retraite, vous comprendrez mieux les exigences d’une bonne gestion pour diminuer vos primes d’assurances et l’intérêt d’une télégestion, mais vous serez surtout incollables sur la gestion du réactif et du cos p !
En résumé vous ne serrez plus perdus devant vos installations et vous retrouverez dans vos notes EREMA le conseil judicieux pour solutionner vos problèmes et vous orienter vers les professionnels habilités.
Notre groupe de 23 à 75 ans, a pu partager de très bons moments avec une gastronomie et un accueil propice à une semaine enrichissante dans la proche montagne grenobloise.
Pierre Noguez - Energie Renouvelable de Louviers
Erema, avec la complicité de mes compagnons stagiaires, m’a confié la rédaction du ‟ compte-rendu ʺ du stage d’exploitation, ‟ cuvée ʺ 2004, qui s’est déroulé sur une semaine à Herbeys, à proximité de Grenoble.
Ce que je peux dire, à l’issue de ce stage, c’est que l’exploitation d’une petite centrale n’est pas une ‟ petite ʺ affaire !
En effet, les compétences requises pour la conduite raisonnée d’une petite centrale sont vastes, mais l’équipe d’Erema a su nous transmettre, avec un mélange soigneusement dosé de tableau noir et de caisse à outils, une synthèse des connaissances nécessaires à la bonne marche de nos centrales.
Les visites des sites ont été autant d’occasions pour expliciter nos échanges théoriques mais également pour goûter à la cuisine bio du pays.
C’est pourquoi, entre candides curieux profitant du stage comme une entrée en matière dans le métier et professionnels accomplis désireux d’exploiter leur centrale en industriels avertis, on repart de ce stage conquis par une approche résolument moderne de la gestion de petites centrales. D’ailleurs, le menu était copieux : contrôle vibratoire préventif, théorie des turbines, électrotechnique, réglementation, etc.., le tout servi avec une attention permanente à la préservation de l’environnement.
Je ne rappellerai pas ici les compétences des intervenants, solidement ancrée dans de nombreuses années d’expériences de terrain. Ils ont toujours à cœur d’apporter des réponses à nos questions.
Ainsi, convivialité, savoir-faire, disponibilité et organisation sans faille, ont été les maîtres mots de ce stage particulièrement enrichissant qui nous a permis de mieux comprendre ce que doit être la conduite d’une petite centrale, de mieux appréhender l’étude de centrales nouvelles … et peut être même un peu de rêver.
Xavier CASIOT - Société MORELLO et LACOSTE
Les impressions d’un stagiaire en 2003.
Si le stage d’exploitation imaginé et conduit par EREMA n’étais pas un grand moment de convivialité et de formation, jamais je n’aurais accepté de rédiger un ‟ compte-rendu ʺ de cette semaine passée près de Grenoble, à Herbeys.
Mais, la gentillesse et la compétence des intervenants, la bonne chère dans quelques auberges et la visite de centrales constituent un excellent cocktail pour dynamiser les participants et créer une ambiance de formation unique, faite de travail et de détente.
Le fait d’avoir participé deux fois (sic) à ce stage témoigne de la sincérité de mes compliments. En effet, un nouveau gardien ayant rejoint notre équipe, ayant moi-même déjà apprécié le stage, compte tenu des travaux à réaliser dans nos centrales, il m’a semblé qu’il serait efficace que le nouveau collaborateur et moi-même participions ensemble, au même stage.
Résultats : des soirées studieuses, une excellente prise en main des centrales, un nouveau programme de gestion et une production déjà en hausse. Voilà un nouvel argument de vente pour nos amis EREMA.
Quand je vous aurais dit que les animateurs étaient tous intéressants, que Jacques ETIENNE est toujours aussi savant et sympathique, que grâce à Jean-Philippe REILLER nous avons tout compris les tenants et les aboutissants du courant réactif, que les locaux sont beaux, simples et confortables et que Jean-Marie DYON est le champion de la maintenance prédictive…, vous aurez tous envie de participer ou de faire participer au stage EREMA.
A tous un grand merci pour les exposés, les discussions, et les échanges si profitables, sans oublier les visites et l’excellente camaraderie.
Daniel SOREAU - Compagnie du Funiculaire du Pic du Grand Jer de Lourdes